Au temps du Chapitre Saint-Vincent, il était d’usage que les chanoines fissent quelques legs destinés à magnifier les moments et les divers lieux du culte au sein de la collégiale St-Vincent.
Au 15ème siècle, Jacques de Cotthem, prêtre et chanoine de Soignies, lègue une ferme et ses dépendances au lieu-dit le Ferquenois, à condition de chanter, chaque dimanche, l’antienne grégorienne «Inviolata, integra et casta es, Maria». «Vous êtes sans tache, chaste et virginale, ô Marie» était chantée lors des fêtes de la sainte Vierge.
En 1740, les archives citent le rieu de l’Inviolata (probablement le Bercely) et une fontaine y tenant. Au cours des siècles, on semble avoir utilisé indifféremment les expressions chemin du Ferquenois, chemin de la Berlière.
En chemin, prions…
Vincent et Waudru ont trouvé sens à leur histoire à travers Jésus-Christ.
A leur suite, donnons à nos jeunes l’audace et la confiance de suivre le Christ, de se mettre au service de leurs frères lors des pèlerinages diocésains et de se tourner vers leur prochain quelle que soit son origine ou sa nationalité.
Que la force de l’Esprit les aide à trouver une voie à travers laquelle ils pourront partager largement les dons qu’ils ont reçus.
Sancte Vincenti, Ora Pro Nobis
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